Ahl-ul-bayt dans la Saint Coran
Le Saint Coran est la Source de la Pensée et l’Origine de la Législation et des Valeurs islamiques. Ce qui y est dit est Révélation et Parole Divine Sacrée, qui formule le mode de la vie et précise ses lois.
Le Saint Coran est la Source de la Pensée et l’Origine de la Législation et des Valeurs islamiques. Ce qui y est dit est Révélation et Parole Divine Sacrée, qui formule le mode de la vie et précise ses lois.
Imam Khomeiny (ra) : « Rassemblez-vous, respectez la prière du vendredi comme les autres prières, car les diables ont peur de la prière et de la mosquée. »
Pourquoi DIEU (s.w) tient-il tant à cet homme en particulier, au point de suspendre pour lui les lois de la nature ? Pourquoi la direction du Jour Promis ne serait-elle pas confiée à un individu que l’avenir engendrerait…
Le sujet d’al-Mahdi n’est pas limité à l’école des Ahl-ul-Bayt, que la paix soit sur eux, mais plutôt, il est un pôle d’intérêt dans toutes les écoles de pensée Musulmanes.
Introduction à la connaissance du dernier Imam (AS) : Il n’y a nul doute que le Coran est le Livre de DIEU et que tout être soumis est appelé à suivre ses commandements et instructions.
C’est ainsi que, pour des raisons en liaison avec la sagesse divine, qu’a commencé l’occultation majeure. Mais, malgré l’absence de l’Imâm (H), les questions islamiques traitées par les Imâms étaient toujours à la disposition des gens.
Un des événements importants de la vie du Prophète, Dieu le bénisse lui et les siens, est le jour nommé « jour de la mobâhala », qui eut lieu le 24 du mois de dhou l-hiddja en l’an 9 de l’Hégire.
Suite de l’usure du temps et des événements historiques, le livre, la loi et la personnalité de ces anciens prophètes ont été déformés et cette dénaturation a quelque peu obscurci l’histoire de leur vie.
Dès ses débuts dans le Noble Coran et la sainte Sunna prophétique, l’Islam a donné à la mère un statut distingué par rapport à celui du père pour ce qui est du dévouement, d’affection et de charité.
On pose souvent la question de l’arriération de la société et ses retombées au niveau de la femme, elle-même considérée comme une partie intégrante de cette réalité de l’arriération.