Hadith : « Je suis la Cité du savoir et ‘Ali en est la porte. »
Jâbir b. ‘Abdillah rapporte du Prophète (pslf) : « Je suis la Cité de la Science et ‘Ali en est la porte (le portail) ; quiconque désire se rendre à la cité doit passer par la porte ».
Jâbir b. ‘Abdillah rapporte du Prophète (pslf) : « Je suis la Cité de la Science et ‘Ali en est la porte (le portail) ; quiconque désire se rendre à la cité doit passer par la porte ».
S’il est un hadith du Sceau des Prophètes et Messagers divins, Dieu le bénisse lui et les siens, qui soit moutawâtir (c’est-à-dire transmis par des chaînes multiples et ininterrompues de transmetteurs dignes de foi) aussi bien dans les sources sunnites que dans les sources shiites, c’est bien le hadith des « deux trésors » (ou « choses de poids », ath-thiqlayn).
C’était aux premiers temps de l’Islam à la quatrième année de sa mission. Lorsque le Prophète reçut cet Ordre de Dieu d’avertir ses proches parents, il invita les enfants de Abdoul Mouttalib à un entretien dans ce but. Une première rencontre eut lieu.
Tous les Messages et les Lois divins firent l’objet d’altérations et de falsifications. Tel fut le cas avec la Tora du judaïsme et les Evangiles du Christianisme. Au regard de l’histoires, il s’est avéré que ces Livres censés être la Parole de Dieu sont différents dans leurs contenus de ce qui fut révélé au Prophète Moïse et au Prophète Jésus. Le Coran est le seul Livre divin qu’Allah a préservé de toute modification et de toute altération.
C’est Lui, Allah. Pas de divinité digne d’adoration à part Lui ; le Souverain, le Pur, l’Apaisant, le Rassurant, le Prédominant, le Tout Puissant, le Contraignant, l’Orgueilleux.
C’est par cette célébration du Nom divin que débute chacune des sourates ou chapitres du Coran